Que voir dans le Cotentin : nos 10 incontournables

Quel plaisir de découvrir les somptueux paysages sauvages de la péninsule du Cotentin en automne. On savait que la Normandie était pleine de surprises mais ce séjour dans le Cotentin a vraiment été un énorme coup de cœur !

Nous étions déjà venus dans la Manche pour un reportage sur le DDAY et les plages du débarquement mais nous n’étions jamais venus dans le Cotentin. Dans cet article nous avons choisi de vous parler de nos 10 incontournables, classés de façon à proposer un road trip du nord vers le sur de la péninsule.

Itinéraire : la carte de notre road trip dans le Cotentin

Si vous avez du mal à visualiser où se trouvent tous les magnifiques endroits dont nous vous parlons dans cet article, voici une carte qui devrait vous aider :

1. Cherbourg-en-Cotentin

Nous avons pris le train de 7h33 à la gare Paris Saint-Lazare et nous sommes arrivés à Cherbourg-en-Cotentin à 11h21, le samedi matin. Nous avons récupéré les clefs de notre voiture de location à la gare et il était déjà l’heure d’aller déjeuner.

Club Dinette

Nous sommes donc allés au Club Dinette. C’est un restaurant éco-responsable qui propose une carte courte et de saisons avec des produits bio, locaux et équitables. Leurs convictions s’étendent jusqu’à leur gestion des déchets en évitant au maximum le plastique. Leur mobilier vient de l’upcycling et même leur électricité est 100% renouvelable et 100% coopérative !

Chaque semaine Club Dinette propose deux plats, deux desserts et une entrée du moment. La carte varie en fonction des produits proposés par les producteurs avec qui ils travaillent.

De notre côté nous avons pris : les conchiglionis farcis ricotta, champignons, carottes et noisettes à partager en guise d’entrée. Mickaël a pris le gratin gourmand potimarron, pomme de terre, céleri, surmonté de sa crème de poivron rouge. Et de mon côté j’ai pris une assiette composée de :

  • boulettes de riz croustillantes aux amandes, parmesan, gingembre et épices
  • mayonnaise vegan à la noix de cajou
  • purée de courge butternut
  • salade de haricots blancs / raisins / navets rôtis au miel / mimolette fermière

En dessert, nous avons partagé un succulent fondant au chocolat et sa chantilly azuki châtaigne.

Club Dinette
27 rue Tour Carrée, 50100 Cherbourg-en-Cotentin
Horaires : du mercredi au samedi de 12h à 01h et le dimanche de 12h à 18h
‎Prix : 46 € pour une entrée, deux plats, un dessert, une bière et un jus du jour

Visite de la Manufacture du Parapluie de Cherbourg

Ensuite, nous sommes passés à la manufacture des emblématiques parapluies de Cherbourg. Si vous ne connaissez pas encore l’histoire de ce parapluie Made in France, célèbre dans le monde entier la voici :
Jean-Pierre Yvon est issu d’une famille de manufacturiers du cuir et est, à l’époque, photographe à Paris et dans le monde. En voyageant, il se rend compte du succès international du film de Jacques Demy « Les Parapluies de Cherbourg » (1963). Il décide alors de revenir dans son Cotentin natal et de créer la marque « Le Véritable Cherbourg ». Un parapluie fabriqué à la main avec un savoir-faire français et testé en soufflerie afin de valider sa résistance tout en préservant sa beauté.

En juillet 2018, c’est Charles Yvon (le fils de Jean-Pierre Yvon) qui a repris les rênes de la société familiale. Il a d’ailleurs changé le nom de la marque en mars 2020, qui est devenue « Le Parapluie de Cherbourg ».

Nous avons eu le droit à une visite guidée de la manufacture où nous avons pu voir les différents postes de travail des couturières et donc, les différentes étapes de la fabrication des parapluies. À l’étage, nous avons visionné le court métrage sur l’histoire du Parapluie de Cherbourg. Enfin, nous avons parcouru le petit musée installé dans les salons privés avant de repartir avec un magnifique parapluie Le Demoiselle rouge, que vous allez retrouvez plus tard dans nos photos.

Manufacture les Parapluies de Cherbourg
22 Quai Alexandre III, 50100 Cherbourg-en-Cotentin
Horaires : du lundi au samedi 10h à 12h et 14h à 19h
‎Prix : 8 € la visite guidée de la manufacture et 5 € la visite libre de la partie musée. Les prix des parapluies quant à eux sont compris entre 125 et 289 €

La Cité de la Mer

Après cette belle découverte du centre-ville de Cherbourg, nous filons vers l’ancienne gare maritime transatlantique qui héberge depuis 2002 la Cité de la Mer. Initialement, la Cité de la Mer est un site touristique dédié à l’aventure de l’homme sous la mer, mais les thématiques des expositions ont un peu évolué depuis ces 18 dernières années. Elles visent à s’adapter aux attentes du public et aux dernières découvertes liées au monde marin. C’est notamment le cas de l’exposition permanente lancée en 2019 : « l’Océan du Futur », qui propose une scénographie magnifique pour éduquer les visiteurs sur le dernier territoire sauvage de la Planète et sur l’important de le protéger.

Nous avons également visité le plus grand sous-marin du monde « le Redoutable », qui a été désarmé en 1991 et installé à la Cité de la Mer pour son ouverture. Grâce à un audioguide nous pouvons visiter chaque pièce et étage du sous-marin et plonger dans la vie des sous-mariniers. C’est vraiment une visite passionnante !

Enfin, il nous restait 15 minutes avant la fermeture du musée, donc nous sommes rapidement passé à l’exposition sur le Titanic. Malheureusement, c’était un peu trop court pour prendre le temps de tout lire mais le film d’entrée est vraiment immersif et l’exposition a l’air très intéressante. Il faudra que l’on revienne pour prendre le temps de la faire à notre rythme.

Cité de la Mer
Gare Maritime Transatlantique 50100 Cherbourg-en-Cotentin
‎Prix : 19 € / adulte et 12 € / jeune

2. Le Landemer

À Urville-Nacqueville, les falaises de Landemer ont inspiré plus d’un artiste… Boris Vian, les décrit d’ailleurs dans les premières pages de son roman l’Arrache cœur : « Le jardin s’accrochait à la falaise et ses essences variées croissaient sur ses partie abruptes, accessibles à la rigueur mais laissées le plus souvent à l’état de nature ».

C’est ici, que l’hôtel 3* le Landemer a choisi de s’installer dans les années 1870. Juché sur les falaises, avec une vue somptueuse à 180 degrés sur la mer, le Landemer marque le kilomètre zéro du Sentier des Douaniers de La Hague, le long d’une côte sauvage de plus de 80 kms. Un lieu d’exception qui a séduit Edith Piaf, Françoise Sagan, Jacques Prévert ou encore Claude Monet, pour ne citer qu’eux...

L’hôtel a été rénové et à réouvert ses portes en 2014, il propose une hôtellerie de charme au luxe discret avec 6 chambres dans la bâtisse historique et 4 chambres dans la longère. Vu que nous avons réservé à la dernière minute nous n’avons pas eu une chambre avec la vue face à la mer mais elle était quand même très belle.

Malheureusement, nous n’avons pas pu dîner au restaurant car il est fermé du dimanche soir au mardi midi inclut et nous y étions un dimanche soir. Nous allons devoir revenir pour goûter la cuisine du jeune chef hollandais Hendrik Jansen van der Sligte car il parait que sa cuisine est une merveille… Nous avons donc prévu de revenir au printemps prochain pour dîner au Landemer, face au coucher du soleil sur la mer, dans la fabuleuse salle du restaurant !

Le Landemer
2 Rue des Douanes, 50460 La Hague
‎Prix : entre 95 et 188 € la chambre et 17 € /pers le petit-déjeuner

3. Le Port Racine

Le Port Racine est réputé pour être le plus petit port de France ! C’était également l’un des endroits préférés de Jacques Prévert… Et on le comprend car ce petit port de mouillage est digne d’un tableau d’impressionniste avec ses petites barques colorées au milieu des paysages sauvages et naturels de la petite Irlande française !

La première fois que nous sommes passés au Port Racine ça a été un gros fail…C’était en fin de journée, le soleil s’était couché et en plus de ça la marée était basse donc il n’y avait pas d’eau dans le port. Nous sommes donc revenus le lendemain pour le revoir aux heures dorées et à marée haute et c’est vrai que ça change tout.

Si vous avez un peu de temps, sachez qu’à partir de Port Racine, vous pouvez randonner sur le sentier du littoral (GR 223).

4. Le phare de la Hague ou phare de Goury

Il y a quatre phares qui éclairent les côtes de la presqu’île du Cotentin : deux à l’est à Gatteville et au cap Lévi et deux à l’ouest au cap de Carteret et au large du port de Goury. Nous n’avons pas eu le temps de voir les quatre mais nous nous sommes arrêtés dans le petit port de Goury pour admirer le phare de la Hague au coucher de soleil et faire quelques photos avec notre beau parapluie de Cherbourg !

Le phare de Goury a été mis en service en 1837 après 27 naufrages de navires qui ont tous sombré dans les parages la même année ! Il parait que c’est dans cette partie du Cotentin, au raz Blanchard, qu’il y a l’un des courants de marée les plus forts d’Europe. Les marins redoutent les jours de tempête qui sont d’une rare violence, mais c’est l’occasion pour les photographes de capturer des photos incroyables des flots déchaînés !

5. Coasteering dans la Baie d’Écalgrain

Le coasteering est un sport nautique venu tout droit du Royaume-Uni. Apparu dans les années 90 au Pays de Galles, le coasteering, s’est ensuite développé le long des côtes rocheuses de toute la Grande-Bretagne, ainsi qu’en Irlande. Il est arrivé sur les côtes françaises depuis quelques années et c’est l’ASES (Association de Sauvetage et d’Education à la Sécurité) du Cotentin qui propose le coasteering dans la Baie d’Écalgrain. Pour ceux qui ne sont pas encore familiers avec ce sport, c’est un mix entre le canyoning et l’escalade.

Une fois équipé de nos combinaisons, nous marchons le long de la plage jusqu’au moment fatidique où nous devons rentrer dans une eau dont la température doit être aux alentours de 15 degrés. Au début l’eau rentre par la nuque, les bras et les jambes… Elle est froide donc ça nous crispe un peu, mais petit à petit elle se réchauffe dans notre combinaison. On s’habitue au fait de devoir nager avec un gilet de sauvetage et on commence à grimper sur des petits rochers pour se familiariser avec les sauts.

Vient ensuite le moment de grimper de plus en plus haut (jusqu’à 8 mètres) pour sauter. Nous sommes très bien encadrés par les 3 moniteurs de l’ASES :

  • le premier nous aide à grimper sur le rocher car les vagues nous éloignent et nous ramènent avec force vers les rochers
  • le second nous aide à sauter
  • et le dernier attend dans l’eau pour vérifier que tout va bien à la réception

J’ai un peu peur du vide donc quand j’arrive en haut ma technique c’est de ne pas trop réfléchir et de sauter ! Et franchement ça marche bien mais si j’avoue avoir des guilis dans le ventre avant chaque saut…

Notre avis sur le coasteering et les informations importantes

On a adoré les sensations du coasteering et on vous recommande vivement de tester ! C’est une activité qui est ouverte aux enfants dès 12 ans et le parcours est adapté en fonction de la météo et du niveau des participants. Nous avons fait le parcours avec le plus de sensations mais sachez qu’il y a deux autres parcours à Omonville-la-Rogue et Port-Racine, qui sont plus doux au niveau des sauts.

Coasteering ASES Cotentin
Inscription sur le site secourisme50.assoconnect.com
Email : coasteering@secourisme50.com
‎Prix : 38 € par personne

6. Le Nez de Jobourg

Le Nez de Jobourg est l’une des merveilles naturelles du Cotentin qu’il nous tardait de découvrir ! Nous étions d’ailleurs étonnés d’apprendre qu’il est le second site le plus visité de la Manche, après le Mont-Saint-Michel.

Il ne faisait pas un temps superbe lorsque nous y étions et pourtant le cap de la Hague demeurait d’une grande beauté. Après avoir photographié le Nez de Jobourg, accroupis derrière de jolis ajoncs jaunes, nous avons pris un moment pour admirer la vue depuis les falaises. Au delà du Nez de Jobourg, nous pouvons apercevoir le cap de Flamanville. Face à nous, nous pouvons apercevoir l’île d’Aurigny et à notre droite, le phare de la Hague.

Le meilleur moyen de profiter pleinement de la beauté du lieu est, selon nous, de parcourir le sentier des douaniers (GR 223) en randonnée !

7. Le Jardin botanique du château de Vauville

Le jardin botanique du château de Vauville a été planté dans un pré à vaches par le parfumeur-voyageur Eric Pellerin et son épouse Nicole, en 1948. Il a ensuite été agrandi et magnifié dans les années 80 par Guillaume Pellerin et Cléophée de Turckheim. Et il a récemment été repris en 2017 par Eric Pellerin. Il accueille maintenant près de 1 000 espèces végétales de l’hémisphère austral sur près de 5 hectares. On est plongé dans une ambiance subtropical qu’on ne s’attendait pas du tout à trouver dans le Cotentin !

Les végétaux les plus robustes ont été utilisés comme haie pour protéger les plantes les plus délicates du jardin, des vents forts qui frappent la côte. De plus, la dérive océanique Nord-Atlantique du Gulf-Stream, tempère l’atmosphère et crée ainsi un climat favorable pour cette végétation australe.

On a adoré les palmeraies, le jardin de la sagesse et le bassin des gunéras. L’accès au château est privé mais une petite allée permet quand même d’observer sa beauté ! Nous avons eu la chance de croiser le propriétaire, Éric Pellerin, à ce moment là. Il nous a appris qu’il faisait des travaux dans le château, afin de proposer des hébergement l’année prochaine. Et les chanceux qui logeront sur place auront accès au jardin de nuit !

Nous également passés brièvement à la Ferme du Jardin, où l’on a pu découvrir des races menacées de disparition, dont le berceau originel est principalement la Normandie.

Le Jardin botanique de Vauville et la Ferme du Jardin
1 route du thot, 50440 La Hague
‎Prix des visites : le jardin 19 € /pers et la ferme 8€ /pers

8. Initiation au Surf sur la plage de Siouville-Hague

Siouville-Hague est la capitale du surf du Cotentin. Vous pouvez également aller à Biville, Vauville, Scioto, le Rozel ou Surtainville en fonction des conditions des horaires de marée, de la houle et des vents. La côte ouest de la Normandie regorge de spots de surf ! Il n’est d’ailleurs pas rare de voir des voyageurs de l’Europe du Nord venir dans le Cotentin pour pratiquer du surf, du kitesurf ou encore du windsurf…

Après avoir lorgné sur les surfeurs de la côte basque cet été, j’avais hâte d’avoir ma première initiation de surf ! Malheureusement, quand nous sommes arrivés à Siouville-Hague le dimanche matin, il n’y avait pas pet de vent… Le moniteur du Cotentin Surf Club, avec qui j’avais rendez-vous, m’a donc proposé de faire une sortie en paddle pour remplacer le cours de surf.

En tout cas si l’envie vous prend de vous initier au surf nous vous conseillons le Cotentin Surf Club. Les moniteurs sont vraiment sympas et le club est classé parmi les meilleurs clubs de surf français.

Cotentin Surf Club
14 Boulevard Ferdinand Deveaud, 50340 Siouville-Hague
‎Prix : 35 € /pers

Où manger à Siouville-Hague ?

Après l’effort le réconfort : si vous avez un petit creux après le surf, ne manquez pas le restaurant le Baligan. Avec ses airs de guinguette, le Baligan est un chouette restaurant où il fait bon de venir chiller le dimanche après-midi.

Le patron est très sympathique et aux petits soins avec tous ses clients. Si vous cherchez des endroits insolites à visiter pendant votre séjour dans le Cotentin, n’hésitez pas à lui demander, il est de très bons conseils.

Mickaël a pris un « Bee » burger composé de fromage de chèvre, tomates, oignons rouges, salade, cornichons et sauce burger. Et de mon côté, j’ai choisi le plat du jour : l’agneau cuit à basse température, accompagné de petits légumes de saison. C’était excellent ! Les plats étaient tellement copieux que nous n’avions même plus faim pour goûter les desserts.

Le Baligan est une chouette adresse à ne pas manquer si vous êtes de passage à Siouville-Hague.

La Baligan
3 Place des Tamaris, 50340 Siouville-Hague
‎Prix : environ 20 € / personne pour un plat et une bière

9. Barneville-Carteret

Barneville-Carteret est devenue une station balnéaire réputée à la fin du XIXe siècle. À cette époque, les « bains de mer » sont en vogue… De riches familles viennent donc faire construire leurs villas le long de la plage de Barneville.

Nous n’avons pas vraiment eu le temps de visiter Barneville-Carteret car nous y étions seulement pour une soirée et une nuit. Cependant, voici quelques idées des choses à voir et à faire :

  • admirer les charmantes cabines de bain bleues et blanches sur la plage de la Potinière
  • scruter l’horizon à la recherche des grands dauphins
  • prendre le ferry pour aller sur l’île anglo-normande de Jersey

Où manger à Barneville-Carteret ?

Le soir, nous avons dîné à l’hôtel-restaurant les Ormes, situé non loin du port de plaisance. C’est un lieu cozy et élégant qui propose une carte élaborée avec des produits locaux.

Nous avons tous les deux choisi le « Menu Jardin » avec entrée, plat, fromage ou dessert. En entrée Mickaël s’est laissé tenté par le gaspacho de courgettes, tartare de chou en rémoulade, crumble au curry. De mon côté, j’ai pris le dos de poisson nacré en médaillon et son concassé de tomates, raifort et parmesan. C’était très bon mais à la moitié du plat, nous avons échangé d’assiette car mon entrée commençait à m’écœurer.

Ensuite, en plat nous avons tous les deux choisi le poisson du moment au beurre nantais avec ses zestes d’agrumes. Pour finir, j’ai choisi de goûter les fromages locaux tandis que Mickaël, en bon bec sucré, a pris la tarte aux figues accompagnée de son sorbet.

Où dormir à Barneville-Carteret ?

L’hôtel-restaurant La Marine est sobre, élégant et moderne. De l’extérieur, on dirait un paquebot accosté dans le centre-ville de Barneville-Carteret.

Notre chambre était très spacieuse et nous avions un balcon avec une vue magnifique sur la mer. Le matin, nous avons pris le petit-déjeuner tôt pour admirer le lever de soleil qui nous a offert un spectacle magique en embrasant le ciel !

10. Portbail (Port-bail-sur-mer)

Le dimanche matin avant d’aller au cours de surf, qui s’est transformé en sortie paddle comme je vous le racontais plus haut… Nous avons fait un tour dans la ville de Portbail aussi appelée Port-bail-sur-mer.

Située sur la côte des Isles, Portbail est l’un des plus beaux sites naturels et historiques du Cotentin. Elle renferme un havre, qui au gré des marées, voit son paysage se transformer. Nous y étions d’ailleurs au moment des grandes marées et c’était marrant de voir l’eau qui arrivait vraiment aux portes de la ville ! Portbail possède également un riche patrimoine historique composé de : deux églises, une chapelle, un ancien prieuré et quatre manoirs. Une jolie visite qui se trouve tout au sud de la côte ouest du Cotentin.

Notre avis sur le Cotentin

Le Cotentin a vraiment été un coup de cœur pour nous deux. Nous ne nous attendions pas à trouver de grands espaces naturels et sauvages le long des côtes françaises ! Nous comprenons mieux pourquoi le Cotentin est surnommé « la petite Irlande française ».

Si vous souhaitez découvrir ces 10 incontournables, nous vous conseillons de rester au moins 3 jours sur place pour en profiter pleinement.

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Nous remercions chaleureusement l’Office de tourisme de Normandie, ainsi que leurs partenaires, qui nous ont accueilli pour ce reportage photos. Comme d’habitude, nous restons libres de nos propos et de nos choix éditoriaux.